Cette exposition de Thierry Droz est spécialement conçue pour la Tour Lombarde et son atmosphère intemporelle.

La quarantaine de peintures et sculptures, présentées du 6 avril au 26 mai, est le résultat d’une année de travail inspirée par les éléments naturels qui nous entourent.

Les sculptures en bois recouvertes de graphite et de terres du Roussillon semblent évoquer des racines, des ceps ou des pierres en mouvement. Témoins du temps qui passe, elles sont la partie plus terre à terre de l’exposition.

Les peintures libres, sur toiles ou papiers cuve et les monotypes sont plus éthérés. Les traits, parfois sensibles, parfois plus brusques, sont autant de branches d’arbres, de ruisseaux et d’arêtes de montagnes se rencontrant, librement, comme une musique improvisée.

La technique est brute et dépouillée, le mouvement, les terres d’ocre naturelles, des formes qui s’inventent et l’aventure du trait se poursuit.

A voir du 6 avril au 26 mai, vernissage le 6 avril dès 18h30.